Alors n'avait aucun doute sur le fait que l'on ne puisse être responsable de ce qu'on faisait endurer aux autres que lorsqu'on était avant tout acteur principal. Il décomptait donc absolument tous les effets de ses actes pour ne les laisser qu'aux autres, ceux qui prenaient les décisions de commandement tandis que lui se suffisait à lui-même dans le champ des investigations qu'il menait pour le compte des enragés.
Le ciel était tout de noir vêtu, au point que l'on ne puisse présager de ce qui pourrait en découler ensuite. L'idée de l'effet des tremblements de terre sous-marins l'effleura.
Tout en psalmodiant ce qui devait libérer tous les insectes tués par inadvertance, il combinait l'idée de la résolution de l'interconnexion ADN des ordinateurs avec ceux qu'il traquait. Le métier de traqueur avait pas mal évolué. Les pensées figées autour de quelqu'un n'étaient plus traitée de la même façon. On ne chassait plus les pensées préalables aux actes depuis longtemps. Tandis que beaucoup travaillaient encore sur les notions de réseaux, lui avait complètement coupé avec cette résolution. Le seuil, juste un seuil qui permette le passage possible entre les compétences et la surveillance des cibles. La tromperie était sont meilleur atout.
Avoir plusieurs années à se faire admettre pour, ...
L'atteinte des vibrations dans le corps avait permis petit à petit de faire monter le niveau de quantité de lumière émise par toute source. Afin de voir se concentrer l'ensemble de points de vie apparaître dans une forme, il fallait acquérir cette possibilité. Cela arrivait maintenant tout autrement qu'autrefois. La césure avait été violente. Même ouvrir une quantité d'espace voulue chez quelqu'un d'autre. Pour cela il avait des stratagèmes très différents devant chacun de ses interlocuteurs. Parfois il se faisait passer pour un animal blessé, parfois pour un marchand sans concession. Ce qu'il aimait le plus était de se faire passer pour quelqu'un de bien. Quand quelqu'un devenait proche de lui au point du respect et de la reconnaissance, il avait une façon bien à lui de démonter la texture essentielle des contradictions qui empêchait les mouvements.
Avoir un objectif était donc beaucoup plus simple que ce que beaucoup pouvaient imaginer.
Calme et pondéré. Tout ce qu'il n'était pas.
Non pas lui.
Il étudiait celle-ci depuis un moment :
Une femme grande avec une chevelure d'ébène se trouvait aux abords du camps. La vision des barbelés ne l'effrayait pas. Elle en connaissaient la teneur. Une gamme d'odeurs lui parvint. Son corps était propre. Ses organes également. Tu sens bon pensa-il.
Pendant ce temps, celle-ci qui se nommait Dextra avait infiltré le camps depuis 3 ans. Elle s'investissait considérablement et afin de répondre aux demandes d'hygiène féminine, elle découpait actuellement des protèges-slips en deux, afin de doubler sa clientèle et de rencontrer le plus de femmes possible. Nul autre qu'elle ne savait parler autant de dialectes, et nul autre qu'elle n'arrivait à donner la confiance au moins offrant afin de parvenir à ses fins. Son entrée au camps n'avait été apprécié. Elle avait été de suite suspectée étant donné un corps généreux et fort, autant en couleur qu'en forme. Ses yeux noirs intriguaient. Ils arrivaient parfois à en faire fuir quelques-uns. Néanmoins, dans la majorité des cas, elle avait la ténacité requise pour filouter le quidam, et à n'importe quelle époque. Depuis qu'elle avait appris à voler tout avait considérablement changé pour elle. Les vols lui avaient donné beaucoup de pouvoir. Emmagasiner cette énergie, elle n'en avait pas été capable tout de suite et avait eu beaucoup de mal à trouver le chemin vers ceux qui l'attendaient. Ils étaient neuf. Le contact avec les plaintes lui avait pesé au départ. La plainte devrait rendre son i à qui de droit. Puis elle s'était prémunie des effets en restant concentrée et endurante sans répondre ni aux attaques ni aux agresseurs. En tant que femme, elle devait toujours subtiliser une part d'attention présente en l'autre pour la diriger vers un autre point. Ainsi, pouvait elle traverser le camps en invisibilité et organiser son itinérance comme bon lui semblait sans que personne ne l'entrave. Le contact particulier qu'elle pouvait émettre en effrayait plus d'un. Il fallait savoir se recroqueviller et adopter une stratégie sexuelle convaincante. Contrairement à d'autres elle envisageait les indications de qualité du mâle selon des caractéristiques de blessure et de handicap.
Il était plus aisé ensuite d'imaginer la résistance possible. Son point faible était celui d'être repérée de temps à autres pour son adaptation immédiate au milieu. Il n'était pas rare qu'elle soit enviée et dénigrée pour avoir passé un contrat ou un autre avec tel ou tel autre. Elle aussi avait passé de nombreux accords et elle était très utile pour dépister ceux qui avaient survécu dans des milieux si hostiles que cela relevait de prouesses techniques dont elle faisait commerce. Elle était une vendeuse hors-norme et pouvait vous trouver n'importe quoi dans le camps, à condition qu'on ne lui donne aucun délai.
Oui, celle-là, dit-il tout haut.
http://ici-ou-la-cela.blogspot.fr/2016/04/soit-bon-ou-tue-toi.html
Avoir plusieurs années à se faire admettre pour, ...
L'atteinte des vibrations dans le corps avait permis petit à petit de faire monter le niveau de quantité de lumière émise par toute source. Afin de voir se concentrer l'ensemble de points de vie apparaître dans une forme, il fallait acquérir cette possibilité. Cela arrivait maintenant tout autrement qu'autrefois. La césure avait été violente. Même ouvrir une quantité d'espace voulue chez quelqu'un d'autre. Pour cela il avait des stratagèmes très différents devant chacun de ses interlocuteurs. Parfois il se faisait passer pour un animal blessé, parfois pour un marchand sans concession. Ce qu'il aimait le plus était de se faire passer pour quelqu'un de bien. Quand quelqu'un devenait proche de lui au point du respect et de la reconnaissance, il avait une façon bien à lui de démonter la texture essentielle des contradictions qui empêchait les mouvements.
Avoir un objectif était donc beaucoup plus simple que ce que beaucoup pouvaient imaginer.
Calme et pondéré. Tout ce qu'il n'était pas.
Non pas lui.
Il étudiait celle-ci depuis un moment :
Une femme grande avec une chevelure d'ébène se trouvait aux abords du camps. La vision des barbelés ne l'effrayait pas. Elle en connaissaient la teneur. Une gamme d'odeurs lui parvint. Son corps était propre. Ses organes également. Tu sens bon pensa-il.
Pendant ce temps, celle-ci qui se nommait Dextra avait infiltré le camps depuis 3 ans. Elle s'investissait considérablement et afin de répondre aux demandes d'hygiène féminine, elle découpait actuellement des protèges-slips en deux, afin de doubler sa clientèle et de rencontrer le plus de femmes possible. Nul autre qu'elle ne savait parler autant de dialectes, et nul autre qu'elle n'arrivait à donner la confiance au moins offrant afin de parvenir à ses fins. Son entrée au camps n'avait été apprécié. Elle avait été de suite suspectée étant donné un corps généreux et fort, autant en couleur qu'en forme. Ses yeux noirs intriguaient. Ils arrivaient parfois à en faire fuir quelques-uns. Néanmoins, dans la majorité des cas, elle avait la ténacité requise pour filouter le quidam, et à n'importe quelle époque. Depuis qu'elle avait appris à voler tout avait considérablement changé pour elle. Les vols lui avaient donné beaucoup de pouvoir. Emmagasiner cette énergie, elle n'en avait pas été capable tout de suite et avait eu beaucoup de mal à trouver le chemin vers ceux qui l'attendaient. Ils étaient neuf. Le contact avec les plaintes lui avait pesé au départ. La plainte devrait rendre son i à qui de droit. Puis elle s'était prémunie des effets en restant concentrée et endurante sans répondre ni aux attaques ni aux agresseurs. En tant que femme, elle devait toujours subtiliser une part d'attention présente en l'autre pour la diriger vers un autre point. Ainsi, pouvait elle traverser le camps en invisibilité et organiser son itinérance comme bon lui semblait sans que personne ne l'entrave. Le contact particulier qu'elle pouvait émettre en effrayait plus d'un. Il fallait savoir se recroqueviller et adopter une stratégie sexuelle convaincante. Contrairement à d'autres elle envisageait les indications de qualité du mâle selon des caractéristiques de blessure et de handicap.
Il était plus aisé ensuite d'imaginer la résistance possible. Son point faible était celui d'être repérée de temps à autres pour son adaptation immédiate au milieu. Il n'était pas rare qu'elle soit enviée et dénigrée pour avoir passé un contrat ou un autre avec tel ou tel autre. Elle aussi avait passé de nombreux accords et elle était très utile pour dépister ceux qui avaient survécu dans des milieux si hostiles que cela relevait de prouesses techniques dont elle faisait commerce. Elle était une vendeuse hors-norme et pouvait vous trouver n'importe quoi dans le camps, à condition qu'on ne lui donne aucun délai.
Oui, celle-là, dit-il tout haut.
http://ici-ou-la-cela.blogspot.fr/2016/04/soit-bon-ou-tue-toi.html