dimanche 12 novembre 2017

Poésie Cowboy

Le plus dur c'était de ne plus pouvoir te parler du tout. Un déchirement. Et comment tout s'est évaporé. Pour toi, je portais mon parfum, Madness. Rose piquante et poivre noir. Sans le porter. C'était comme si ma peau de métal était hackée par ton désir. Tu peux me joindre  à n'importe quelle heure tu as dit. Je doute que jamais personne ne puisse me faire ressentir autant de puissance de désir. Un amour extatique, de toute ma vie, rien n'a jamais été si renversant, j'y croyais pas. A côté de toi. Avec n'importe qui, j'ai l'impression de passer au micro-ondes. Ton étreinte, toute simple est ce qui m'a manqué le plus violemment, et ne pas pouvoir me jeter dans tes yeux à califourchon. T'enlever, être juste dans tes bras. Manger catégoriquement nouilles chinoises, ou bien plutôt des ramen ?