dimanche 8 juillet 2012

Fût-Il Aux Cent Coups


Librement adapté du conte de Carlo Collodi.

Il était une fois, une marchande de froid qui ne saluait pas les rois. Il était pourquoi depuis cet état, l'invisible froid, lancé à tout va, qui surprit la foi, du marchand de bois se contera comme cela : Le père La Cerise, nez de ROUGE myrtille lorsqu'il vit jaillir, ce morceau de bois, qui le mit en joie, afin de créer, cet objet heureux, avec sa hache, en levant le bras, entendit le vent lui souffler par là qu'il faisait si froid, qu'il en entendait une petite voix, par ici et là.

Affûté de peurs, Monsieur Monseigneur, tout de bien soudain, effleura ses mains, se tira les cheveux, tourna d'un seul tour, regardant dedans et d'un oeil d'autour : qui peut-être là ? Tirelirela, retourna tout droit à son bout de bois et lui écrasa un coup de bambou après nulle voix n'avoir entendu, point ni même crût, cette voix, ici même en son toit.

Ce coup développa à grand cri et dam, cette petite voix, qui voulût par là, stopper cette attaque : Monsieur La Cerise tout à sa surprise tomba la mâchoire sur ses grands genoux, langue et yeux claquant sous les soubresauts d'une si grande surprise : fût-il aux cent coups, regardant de près et plutôt beaucoup ce si surprenant petit bout de bois qui lui inspira un soulèvement, une volée de coups pour tordre le cou à ses présomptions. 

 Sous les coups la voix, cria à son tour pour arrêter cela et le menuisier avala de suite, le chant du silence afin de se fendre d'avoir la foi et de claquer encore et puis d'affiner ce bois chatouillé, ce qui le conduisit à être dans l'noir, nez bleu à faire peur, tellement vraiment, il en était blanc.

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